Émissions de radio
France Culture
Épisode 2/4 : Le chant diphonique des steppes
Écouter l’émission en ligne: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/le-chant-diphonique-des-steppes-3026229
Nomade – RTS
Johanni Curtet, chanteur diphonique, Vevey – 11 décembre 2018
Écouter l’émission en ligne: https://www.rts.ch/audio-podcast/2019/audio/johanni-curtet-chanteur-diphonique-vevey-25078850.html
Mundofonías
Mundofonías 2017 #10 | Perdidos por Mongolia y China
We review more in deep two fascinating compilations: Une Anthologie du Khöömii Mongol and Lost in China.
Écouter l’émission en ligne: www.mundofonias.com
Espace 2 – RTS
Versus-écouter – de Vincent Zanetti – Khöömii : les maîtres du chant diphonique
Diffusé le 20/01/2017
Écouter l’émission en ligne: www.rts.ch/play/radio/versus-ecouter/
Oufipo
De Victor Blanchard – Johanni Curtet et son atelier aux multiples voix
Diffusé en décembre 2016. Masterclass organisée par DROM dans le cadre du festival NoBorder.
Espace 2 – RTS
Magma, de Yves Bron – Le chant des steppes
Diffusé le 14 avril 2016
Du jeudi 14 au 16 avril 2016, l’ADEM propose à l’Alhambra de Genève une série de concerts consacrés au chant diphonique et aux musiques de Mongolie. Le chant diphonique, ou parfois chant harmonique, est une expérience fascinante. En effet, comment concevoir qu’une seule personne parvienne à chanter à deux voix, en produisant simultanément un son et l’une ou l’autre de ses harmoniques? Papizan Badar, Sengedorj Nanjid, Davaajav Rentsen chantent en direct dans « Magma », Laurent Aubert, programmateur et Johanni Curtet, ethnomusicologue, répondent aux questions d’Yves Bron.
France Musique
Carnet de voyage, de Edouard Fouré Caul-Futy
De l’art du timbre vocal : au cœur du khöömii en Mongolie
Diffusé le dimanche 31 mai 2015
Écouter l’émission en ligne
Espace 2, Radio Suisse Romande
L’écoute des mondes, de Vincent Zanetti
« Diphonies mongoles. À la rencontre des maîtres du chant diphonique »
Diffusé le 6 octobre 2013
Entretien avec Johanni Curtet, musicien et ethnomusicologue, spécialiste du chant diphonique de Mongolie ; Reportage réalisé en juillet 2013 dans le cadre du festival Les Suds à Arles.
Radio des Suds
Salon de musique, de Philippe Krümm
Diffusé le 9/07/2013
Entretien avec Johanni Curtet dans le cadre du festival Les Suds à Arles.
France Culture
Tout un monde, de Marie-Hélène Fraïssé
« Jeu est un autre, rencontre avec Roberte Hamayon »
Diffusé le 8 avril 2013
Écouter l’émission en ligne
Johanni Curtet invité pour présenter un « week-end chant diphonique » au Musée du quai Branly.
France Bleue Maine
Tout le monde dehors
« Tout le monde dehors avec Battista Acquaviva et Pierrick Lefranc »
Diffusé le 4/02/2013
Écouter l’émission en ligne
Johanni Curtet invité pour présenter un « week-end chant diphonique » au Musée du quai Branly.
RCF
L’invité de la rédaction
« Le chant diphonique mongol en une leçon. Avec Tserendavaa Dashdorj et Johanni Curtet »
Diffusé le 10/01/2013
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France Inter
La Tête au carré, de Mathieu Vidard
Émission du 6/06/2012
P. Barranger interviewé par M. Vidard :
« Festival du film de chercheur de Nancy. (…) Maîtres de chant diphonique est un film d’ethnomusicologie qui nous présente quelques grands chanteurs mongols qui ont une technique de chant tout à fait particulière, voilà un des films très intéressants. »
Télérama.fr
Mondo Sono #105
« La Mongolie »
Diffusé le 1/02/2011
« Musiques / La playlist d’Eliane Azoulay met le cap sur la Mongolie, cette semaine. Une carte postale sonore venue du pays des chamanes et des cavaliers des steppes. (…)
– Mongolie, Musique traditionnelle (Unesco)
– Chants diphoniques de l’Altaï Mongol (Buda)
– Mongolie, Chants et morin khuur (Ocora)
– Hanggaï, He who travels far (World connection) »
France Musique
Couleurs du Monde, de Françoise Degeorges
« Concert Sur la Route de Gengis Khan »
Diffusé le 17 février 2010
France Musique
Couleurs du Monde, de Françoise Degeorges
« Voyage en Mongolie et concert de Nassima »
Diffusé le 8 avril 2009
France Culture
Equinoxe, de Caroline Bourgine
« Cordes Voyageuses », en public, interview de Tserendavaa Dashdorj et Johanni Curtet, 3 titres joués en direct, au studio 105 de la Maison de la Radio.
Diffusé le 27 avril 2008
« Cordes voyageuses : Mathias Duplessy, Tserendavaa et Tsogtgerel de Mongolie, l’ensemble Tsimtsoum. Rassemblement de cordes dans cet Equinoxe d’avril où se mêlent les sonorités klezmer, orientales, et qui nous pousse jusqu’aux hauteurs de l’Altaï (…). Tserendavaa et Tsogtgerel, réputés pour la beauté de leurs chants diphoniques et leur virtuosité à la vièle (…). »
France Culture
Un poco Agitato, de Gérard Tourtrol et Yvan Amar
« Diphonie mongole »
Diffusé le 29 juin 2006
« Diphonie mongole. Un magazine de musique du monde conçu par Gérard Tourtrol en deux partie (…) nous avons l’honneur de recevoir en direct les représentants d’une musique que l’on entend trop rarement en France, la diphonie mongole, en la personne de Tserendavaa et Tsogtgerel, père et fils, en concert ce soir au Satellit Café puis (…) au festival les Orientales. C’est au pied du Mont Jargalant Altaï, dans l’ouest de la Mongolie, que se perpétue une partie de la tradition nomade du xöömij, le chant diphonique. Tserendavaa est l’un des quatre grands maîtres actuels de cette technique vocale si singulière ; avec son fils âgé de seize ans, il interprète des chants longs, des chants courts, des chants épiques et des louanges, en alternance avec des danses et des sifflements. Ils s’accompagnent eux-mêmes à la guimbarde, à la flûte, au luth et à la vièle à tête de cheval. L’ethnomusicologue Johanni Curtet, élève de Tserendavaa et chanteur, sert pour nous de truchement et de traducteur avec les artistes. »
Presse écrite
Presse Une Anthologie du khöömii mongol
Télérama: ffff On aime passionnément
Une anthologie passionnante célèbre l’incroyable diversité du khöömii, le chant diphonique mongol
Ceux qui le pratiquent produisent plusieurs sons vocaux en même temps, en superposant un sifflement mélodique sur un bourdon semblant remonter du fond des entrailles : inscrit au patrimoine immatériel de l’humanité depuis 2010, le chant diphonique khöömii fascine, mais reste méconnu. Même les jeunes Mongols, apprend-on dans l’éclairant livret d’une passionnante anthologie qui leur est consacrée (1) , se désintéressent de leurs traditions héritées d’un mode de vie rural. Sortie chez Buda, elle vient ainsi combler un manque cruel de documentation. Au total : quarante-trois titres, aux deux tiers inédits, pour célébrer l’étonnante diversité du khöömii, enregistrés en plein air ou en studio, a cappella ou avec orchestre. On y entend des voix emblématiques (Tsogtgerel, Tserendavaa) et d’autres inconnues, essentiellement des hommes, qu’accompagnent vièles et guimbardes, rivières ruisselantes et bruits de klaxon : une façon de rappeler que le khöömii, dont les vibrations métalliques et prégnantes imitent les sons de l’environnement, s’inscrit dans une perception animiste. Cela n’empêche pas certains diphoneurs de se frotter au mode symphonique, à l’ethno-rock ou au rap ! Insolite et hors du temps, cette échappée mongole n’est que la première étape d’un tour du monde diphonique d’ores et déjà passionnant.
— Anne Berthod, Télérama, n°3501
Sélection albums – Le Monde
« Plus de deux heures et demie de chant diphonique (khöömii) mongol ! Ce n’est pas donné à la première oreille venue de tenir la distance, une fois passé le premier étonnement face à ces voix qui inventent des mondes sonores étranges, en superposant sons gutturaux et sifflements harmoniques. Ceux qui craignent la saturation devront déguster par étapes les sons de cette anthologie conçue par Johanni Curtet, un ethnomusicologue à qui l’on doit la découverte, au disque, ou sur scène, de plusieurs grands interprètes de khöömii. Il propose ici un voyage passionnant et rare (il n’existait pas, jusqu’alors, de travail éditorial aussi complet sur le sujet) qui, à travers des archives, des enregistrements de terrain ou de studio, couvre une période allant de 1954 à 2016. Celui-ci permet d’approcher la multiplicité d’expressions du khöömii, au masculin (essentiellement) ou au féminin (les femmes ont commencé à l’interpréter à partir du milieu des années 1980), de ses formes les plus traditionnelles aux plus contemporaines (mélangé au rock, intégrant la scansion rap ou chanté en polyphonie). »
— Patrick Labesse, Le Monde, 30/01/2017.
Le chant diphonique, tradition et technique
Lire l’article en ligne: www.rts.ch/info/culture/musiques
— RTS INFO Culture/musiques
Masters of Mongolian Khöömii from the Altai & Ulaanbaatar
« An acoustic concert featuring for the first time six keepers of the tradition of khöömii overtone singing was not to be missed. (…) a continuous stream of wondrous sounds (…) a state of immersive listening (…) Imagine an elderly Lightnin’Hopkins, Son House and others on the same stage: past revivals, old voices, united in sharing the wealth of their tradition. (…) »
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— Michael Ormiston, Live Review, SONGLINES, n°118, 2016
Les maîtres du chant diphonique. T : Pas vu mais attirant.
« Cette première soirée célébrant la sortie d’une anthologie chez Buda met en avant notamment le fameux chant khöömii au féminin. De jeunes chanteurs venus de Mongolie et de Touva, en Russie voisine, confronteront également leurs pratiques respectives. »
« Cette seconde soirée célébrant la sortie prochaine, chez Buda, d’une anthologie dédiée réunit dix grands maîtres du fascinant chant khöömii, venus des montagnes de l’Altaï, d’Oulan-Bator ou de la république de Touva. Guimbardes, luths tovshuur et flûtes tsuur accompagneront leurs bourdonnements virtuoses. »
— Anne Berthod, Télérama.fr, avril 2016
Lumière sur le Khöömii ou chant diphonique mongol avec Johanni Curtet et Nomindari Shagdarsuren.
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— Gwendal Le Goff, L’air d’u – le blog, 14/04/2016
Presse concerts Tserendavaa & Tsogtgerel
« Pour Tserendavaa, Tsogtgerel et Johanni, le chant mongol, c’est une affaire de famille. »
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— Lucie Delorme, La Voix du Nord, 2012.
« La Mongolie à l’honneur. La maison des cultures du monde en partenariat avec Routes Nomades, a créé l’événement en proposant le chant diphonique (…). Une heure de découverte et de bonheur à l’écoute du grand maître Tserendavaa et de son fils Tsogtgerel. Et pour l’équipe de la MCM à leurs côtés, pas de problème de traduction. En effet, une étudiant mongole, Nomindari (…), effectue un stage longue durée dans les lieux. (…) »
— Le Journal de Vitré, 3/06/2012.
« Deux artistes au talent exceptionnel venus faire une démonstration le 11 février 2010 à Rennes. Des chants diphoniques en harmonie avec la nature et qui se transmettent de père en fils depuis des générations par voie orale. »
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— Culturebox, France Télévisions, 15/03/2010.
« Soirée hors normes (…) moments passés entre ciel et terre… »
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— La Lozère Nouvelle, 9/05/2008.
« Père et fils, les virtuoses de la musique traditionnelle mongole. (…) Des sonorités extraordinaires ont conquis le public. »
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— Le Midi Libre, 7/05/2008.
« Fantastique concert mongol dans l’église. Éblouissement. Tserendavaa et son fils Tsogtgerel ont fait découvrir le chant diphonique à un large public. (…) Cette technique vocale si singulière met en avant un trésor culturel méconnu que le public de Saint-Auvent a pu saluer avec enthousiasme. Le succès de cette manifestation était tel que l’église contenait à peine les amateurs de cette musique qui mêle la nature et la civilisation. Un pur moment de grâce. »
— Le Populaire, 25/08/2006.
« Le chant de l’Altaï au sommet. (…) Le son profond des deux vièles à tête de cheval, l’étrange beauté du chant diphonique ont transporté le public au sommet des steppes de Mongolie. (…) Ce beau voyage musical imagé, poétique, d’une pureté sonore aux dimensions du sacré… »
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— L’Écho Haute-Vienne, 17/08/2006.
« (…) des chants diphoniques, emblèmes de toute une culture nomade ancestrale. (…) Un spectacle exceptionnel. »
— Ouest-France Sarthe et Orne, 27/07/2006.
« Les certitudes d’éternité du chant de cour et du chant diphonique. (…) La même confiance en l’avenir scintille chez ce cinquantenaire berger nomade (un cheptel de près d’un millier de têtes : chèvres, moutons, chevaux, vaches et chameaux), vivant dans la région de Xovd (province de Chandman, Ouest mongol). (…) Sous le chapiteau des Orientales, le sourire de Tserendavaa en dit long sur le plaisir du père de voir son fils émettre, avec une parfaite maîtrise, ce chant qui raconte les lacs, les montagnes, le vent des steppes de l’Altaï. »
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— Patrick Labesse, Le Monde, 3/07/2006.
« L’envoûtant concert de voix de l’Altaï mongol (…) les deux artistes jouent avec le souffle de leur voix, émettant des sons extraordinaires, laissant penser aux lourds pas cadencés de leurs montures, le bruissement du vent dans les steppes ou le clapotis de l’eau… »
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— Ouest-France Sarthe et Orne, juillet 2006.
« (…) Ils modulent leurs voix et leurs cordes vocales comme des instruments de musique (…) Le père et le fils ont un moment été accompagnés d’un occidental, Johanni Curtet. Les trois utilisent leurs cordes vocales à leur guise. Toute une palette de sons et de chants qui invite au voyage. »
— Presse Océan, été 2006.
« Initiation vocale insolite aux rythmes de la steppe mongole (…). Ce duo, père et fils, a offert au public un concert exceptionnel (…). »
— Le Maine Libre, 28/06/2006.
Presse disque Tserendavaa & Tsogtgerel
« (…) Buda nous livre un disque remarquable (…) plaisir des oreilles, mais aussi des yeux face à ce chant diphonique jamais lassant parfois accompagnés par un jeune français, Johanni Curtet, responsable des enregistrement et excellent chanteur lui aussi. (…) Les écouter ne peut lasser celui qui aime cette musique. »
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— Etienne Bours, Trad Mag n°121, septembre-octobre 2008.
« (…) Jusqu’à présent, Tserendavaa avait enregistré pour plusieurs compilations et même un disque en solo (…), mais c’est la première fois qu’il enregistre avec son fils, Tsogtgerel, âgé de dix-huit ans et déjà fin virtuose du chant diphonique et de la vièle morin xuur (…). C’est donc une histoire de passation de la tradition mongole qui est racontée à travers ce disque, lequel s’avère être une formidable vitrine des différents répertoires vocaux et instrumentaux de Mongolie (…). On y trouve également de remarquables improvisations pour trois voix, sur lesquelles Johanni Curtet (…) se joint au duo familial. (…) cet album constitue une référence de choix pour tout amateur des pratiques vocales et musicales mongoles. »
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— Stéphane Fougère, Ethnotempos, juin-juillet-août 2008, p. 32.
« À mille lieues d’un recyclage world music, illusoire et superficiel, ces deux disques montrent la renaissance d’un genre traditionnel centenaire (…) et inscrivant, par la passation de connaissances et de techniques ou par leur adaptation à un contexte moderne et à des circonstances changées, la musique mongole dans la catégorie des musiques vivantes et actuelles. »
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— Benoît Deuxant, Courants d’air 21, hiver 2008-2009.
Presse Tsogtgerel solo
« À la une : Mystérieux chant des steppes. Soudain, surgit un son d’une gravité inouïe. Il emplit l’espace de sa présence ténébreuse, puissant et orageux. Sur scène, Tsogtgerel, jeune chanteur mongol de vingt ans. (…) »
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— Patrick Labesse, Le Monde, 8/09/2010.
Presse concerts Dörvön Berkh
« Xöömii singing breaks rare ground. A french ethnomusicologist’s doctoral research into Xöömii (…) as resulted in the first meeting of four of the best and oldest masters of the art, the likes of which may never be seen again in Mongolia. »
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— Lee Campbell, The Mongol Messenger, 04/04/2007.
« Mongolian Khuumi Masters Present Traditional Music in New Ways. »
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— Laura Pucket, The UB Post n°14 (567), 5/04/2007.
« Xöömii masters as living instruments. Mongolia may have economic wealth in its minéral resources but its cultural wealth is in its unique traditional form of overtone singing, or Xöömij. The audience at the ‘Dörvön Berkh’ concert in the Art Gallery Stadium in Ulaanbaatar (…) were spellbound by living instruments (…). »
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— Lee Campbell, The Mongol Messenger, 11/04/2007.
« Les quatre chanteurs de ce groupe, un à un, puis tous ensemble interagissent avec la multitude de techniques qu’ils connaissent. (…) spectaculaires improvisations a cappella (…). »
— L’indicateur, avril 2009.
« (…) le temps fort de la semaine laisse la part belle à Dörvön Berkh, expression mongole pour définir un coup du jeu d’osselets riche de présages fastes. Traduit en chant diphonique, cela donne un concert singulier, véritable appel au voyage en compagnie de quatre maîtres de la discipline. L’imaginaire vit alors aux rythmes de ces harmonies exotiques. »
— Ouest-France, 1/04/2009.
« Maîtres de chant diphonique. Dörvön Berkh, quatre facettes du chant diphonique comme on ne les a jamais entendues. »
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— Johanni Curtet, Aventure n°125, octobre-novembre 2010 p. 48-49.
« Mehrstimming au seiner Kehle. ‘Khoomii’, der mongolische Obertongesang hört sich gut an – wenn man’s kann. »
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— Badische Zeitung, Freiburg, 10/07/2009.
« Dörvön Berkh en concert. (…) Un beau voyage musical dans les steppes de la Mongolie. »
— sorties.francetv.fr, janvier 2013.
« Dörvön Berkh. Note de la rédaction : TT On aime beaucoup. Quatre maîtres du khöömii explorent les tréfonds acrobates et caverneux de ce fameux chant de gorge diphonique propre à la Mongolie, accompagnés par le morin khuur, cette vièle à tête de cheval aux sonorités envoûtantes, le luth tovshuur et la flûte tsuur. »
— Anne Berthod, Télérama.fr, janvier 2013.
Presse disque Dörvön Berkh
« With a profusion of self-proclaimed and real xöömii masters from Mongolia, most of whom reside in Ulaanbaatar, the subtitle of this CD should raise some healthy suspicion. In récent years about a hundred Cds of throat singing have become available locally for the tourist market. Many contain bland interprétations of well-known répertoire, and some consist entirely of folk mélodies performed using one or two throat-singing techniques. Fortunately, this CD présents four established masters, recruited by ethnomusicologist Johanni Curtet to tour France, performing solo and in a various combinations. All four are aware of the dangers of the professionalization of xöömii and maintain strong individual styles in terms of throat-singing, technique and instrumental abilities. (…) it is the uniqueness of each musical performer that fascinates and convices. (…) »
— Mark van Tongeren, 2010 Yearbook for Traditionnal Music.
« Headbangen op Mongoolse keelklanken »
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— Trouw.nl, 28/12/2010.
« Groupe réunissant les meilleurs chanteurs diphoniques de Mongolie de l’ancienne génération et de l’actuelle. Excellent disque de chant de gorge traditionnel. »
— www.lamediatheque.be, Médiathèque de la communauté française de Belgique.
Presse film « Maîtres de chant diphonique »
« Sortie de Maîtres de chant diphonique en DVD. Maîtres de chant diphonique, le documentaire de Jean-François Castell, prix Coup de pouce du « Festival du film de chercheur » Nancy 2012, Prix Bartók de la Société française d’ethnomusicologie au festival « Jean Rouch » 2011, meilleur documentaire au festival « Aux quatre coins du monde » 2011 et sélection « Coup de cœur » au festival « Écrans de l’aventure » 2010 vient de sortir en DVD. Ce film nous fait découvrir le travail de Johanni Curtet, apprenti chercheur en ethnomusicologie, originaire du Mans, et des artistes mongols que nous suivons en Mongolie, au Mans, à Rennes… »
— Ouest-France Pays-de-la-Loire, 20/06/2012.
« Les films primés du 13ème Festival du Film de Chercheur 2012. (…) Le 2ème prix, prix ‘coup de pouce du festival’, a été discerné au film Maîtres de chant diphonique. (…) Johanni Curtet, jeune chercheur français en ethno-musicologie, a eu l’idée de réunir quatre des plus grands maîtres du chant diphonique mongol pour une série de concerts et enregistrer un disque. En Mongolie, puis en France, nous suivons le travail des uns et des autres : la création des concert et le travail des grands maîtres, mais aussi les recherches de Johanni qui étudie les sources de cette musique ancestrale et recense ses pratiques et ses modes d’apprentissage. »
— L’est républicain Nancy, 8/06/2012.
Presse Urbi&Orbi
« Pierrick Lefranc, guitariste manceau, jazzman, a orchestré un ensemble singulier : aux musiciens de jazz ou de tango, dont Jean-Baptiste Henry au bandonéon, il a souhaité y associer des maîtres mongols de chant diphonique. De quoi s’agit-il ? (…) »
— Ouest-France Le Mans, 16/06/2012.
« Voyage musical dans les steppes mongoles. Création originale à l’Espal, mardi 5 février, Urbi & Orbi. Huit musiciens et deux chanteurs mongols, héritiers du chant diphonique, seront sur scène (…) »
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— Ouest-France, 29/01/2013.
« Urbi & Orbi : voyage d’ici à la Mongolie. »
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— Le Maine Libre, 4/02/2013.
« Les Nuits de la Voix commencent dans la lumière. Mardi soir à l’Espal, au Mans, Urbi & Orbi ouvre les Nuits de la Voix. Un voyage vocal et musical du Mans à la Mongolie, facile à entreprendre. Il suffit de se laisser porter. (…) »
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— Ouest-France, 3/02/2013.
« L’ouverture des Nuits de la Voix, mardi à L’Espal, a offert quelques moments époustouflants. Le spectacle Urbi & Orbi a réussi son pari : donner vie à un univers musical inédit, en s’appuyant sur des chants diphoniques mongols, sans tomber dans le folklore ou la world music artificiels. Tout au long du concert, composé par le Sarthois Pierrick Lefranc, les fascinantes vibrations des maîtres mongols, accompagnés d’un autre Sarthois, Johanni Curtet, trouvent un écho harmonieux au sein d’un ensemble pourtant bigarré : bandonéon, basson, contrebasse, percussions et guitare. À la clé, un subtil mariage, inspiré des sons de la nature, des grands espaces de Mongolie, mais aussi de free-jazz et de tango, avec un clin d’œil au blues, au hip-hop. Et cerise sur le gâteau, la danse radieuse d’un maître mongol. (…) »
— Ouest-France, 7/02/2013.
« Une rencontre musicale à la croisée des mondes »
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— Ouest-France, 30/01/2014.
« Le projet ambitieux de Pierrick Lefranc (…) d’associer une culture traditionnelle, le chant diphonique (…) à une pratique instrumentale de chez nous s’est concrétisé. (…) Johanni Curtet, principal représentant du chant diphonique en France, a fait une démonstration de qualité de ce chant ancestral aux côtés de son maître Tserendavaa, lui-même accompagné de son fils Tsogtgerel. (…) les chanteurs ont modulé leur voix et leurs cordes vocales comme des instruments de musique (…) transportant les spectateurs dans les steppes sauvages et lointaines. L’instrumentarium original qui les accompagnait (…) a fait de ce concert un moment magique surprenant et inattendu, très applaudi par un public conquis. »
— Ouest-France Saint Berthevin, 9/02/2014.
Presse Voix Nomades, Sardaigne-Mongolie
« Voyage au cœur des montagnes sardes et des steppes de Mongolie. La 19e édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde fait voyager les passionnés de la musique et de l’art dans différentes contrées du monde avec de belles escales en Sardaigne, en Mongolie et en Espagne. (…) Le public de la 19e édition du Festival des musiques sacrées du monde a vécu, samedi 8 juin, au musée Batha de Fès, une aventure artistique typique et unique qui a vu la rencontre des voix nomades de la Sardaigne et de la Mongolie, représentées respectivement par Cuncordu e Tenore de Orosei et les chanteurs Ts. Tsogtgerel et N. Ganzorig. Ces artistes venus de deux horizons différents ont fait voyager l’assistance au cœur des montagnes sardes et des steppes de Mongolie à la découverte des polyphonies des Tenores sardes et du chant mongol diphonique, le khöömii. (…) »
— Afaf Razouki, Le Matin, 9/06/2013.
« Au Festival des musiques sacrées de Fès (…). Cette ville multiculturelle est un emblème très fort, car elle a su tisser des liens fraternels entre plusieurs religions. Il fut un temps où toutes s’y côtoyaient. (…)Les chants de Sardaigne et de Mongolie se croisent, formant des sonorités atypiques. Ici, il n’est pas étonnant d’écouter des Mongols chanter en canon avec des Italiens. En quelques vibrations, nous voilà plongés à la fois au cœur de la steppe mongole et sous le délicieux soleil italien. Fès est une ville qui parvient à créer de l’harmonie entre l’Orient, l’Occident et l’Asie. »
— Le Huffington Post, 09/06/2013.
« It takes a great deal of inspiration to forge musical links between Sardinia and Mongolia, but the performance at the Batha Museum today did that – and successfully. The concert featured the polyphonic work of the Sardinian Cuncordu E Tenore de Orosei and diphonic Mongolian khöömii chanting from singers Ts Tsogtgerel and Nergui Ganzorig of Mongolia. (…) »
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— Sandy McCutcheon, Natasha Christov, Vanessa Bonnin, The View from Fez, 8/06/2013.
« Entre grands concerts du soir à Bab Makina et concerts plus intimes l’après-midi dans les jardins Batha, les plaisirs musicaux n’ont pas boudé la 19ème édition des Musiques Sacrées du Monde à Fes. (…) Une rencontre inattendue: les voix nomades Sardaigne/Mongolie… L’occasion de découvrir le chant diphonique khöömii et de retrouver les polyphonies des Tenores. Mais surtout, l’émerveillement d’entendre une fusion-évidence, car non seulement l’accord était musicalement beau, mais sardes et mongols contaient la même histoire…et nous la comprenions!…des instants magiques qui gomment les frontières, comment mieux illustrer l’ ‘esprit de Fes’ !? »
— Pascale Guislain, www.culture-et-plus.com, 14/02/2014.
« Dimanche, le brunch musical des Détours de Babel a investi le musée dauphinois pour une journée riche en curiosités. Première curiosité avec Voix nomades : rencontre improbable entre le chant diphonique mongol et l’ensemble vocal sarde Concurdu e tenore de Orosei. Deux cultures séparées par des milliers de kilomètres, mais qui ont en commun le chant à la fois religieux et profane de leur contrée. »
— Christophe Cadet, Le Dauphiné libéré, 9/04/2014.
Presse Johanni Curtet
« Johanni, virtuose du chant diphonique mongol »
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— Jérôme Lourdais, Ouest-France,18/04/2016.
« Johanni chante comme les Mongols »
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— Jérôme Lourdais, Ouest-France, 18/04/2016.
« Sa passion pour le chant est née entre la Mongolie et la France. Trois questions à… Johanni Curtet, ethnomusicologue, musicien, chanteur diphoneur (…) »
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— Ouest-France Saint Berthevin, 11/02/2014.
« Festival Les Suds. Les harmonies du chant diphonique »
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— Elsa Mourgues, La Provence, 11/07/2013.
« Johanni Curtet explique le chant diphonique »
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— Olivier Renault, Ouest-France, 12/02/2010.
« Johanni Curtet sur le fil du chant diphonique. L’ethnomusicologue parcourt la Mongolie pour étudier cette technique vocale, si particulière, qu’il nous fera découvrir (…) »
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— Ouest-France, 7/10/2009.
« Complice : Routes Nomades. Tournées, stages et disques autour des musiques du monde. »
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— Tête de Son n°24, printemps 2008.
« À la découverte du chant diphonique mongol. Doctorant en ethnomusicologie, Johanni Curtet présente le temps fort qu’organisent Routes Nomades autour du chant diphonique mongol (…). »
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— Olivier Renault, Ouest-France Le Mans, 18/04/2008.
« Un art pastoral porté par les bergers »
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— Serge Hulpusch, L’Écho Haute-Vienne, 17/08/2006.
Vidéos (TV, Web…)
Arte concert
Gymnastique: Plutôt deux voix qu’une !
Canal +
« Zapping »
France 3 Alpes
« Harmonie des steppes, un festival mongol en Savoie »
Mondomix
« La Route de Gengis Khan »
France 3 Maine
« Les Nuits de la Voix »
France 3 Ouest, Culturebox
« Tserendavaa & Tsogtgerel »
Diffusé le 11/02/2010. Interview de Tserendavaa Dashdorj et Johanni Curtet, 2 extraits titres live à la MJC Bréquigny, Rennes.