Musiciens
Maria Laurent : chant, banjo, tovshuur (luth mongol)
Johanni Curtet : khöömii (chant diphonique), chant de gorge, guitare, dombra, vièle morin khuur, chœurs
Milad Pasta : tombak, udu drum, daf, tambourin, chœurs
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Formule avec invités sur demande
Meïkhâneh + Uugan (Egschiglen)
Meïkhâneh+Martin Coudroy
Les compositions de Meïkhâneh sont nourries d’imaginaire, d’improvisations, et de musiques traditionnelles d’Europe, de Mongolie et d’Iran. Les voix, lumineuses et envoutantes, portent
la puissance des chants d’Europe de l’Est, les mélodies aériennes des grands espaces, et la profondeur des chants diphoniques mongols.
On y entend des cordes voyageuses rappelant les steppes d’Asie et l’Andalousie. Les rythmes ciselés des percussions puisent dans la tradition persane.
Meïkhâneh nous emmène au cœur d’une musique sans frontières qui caresse l’âme. Son nom emprunté à la poésie persane signifie la « maison de l’ivresse ». On se laisse porter…
Nouvel album « Chants du dedans, chants du dehors » (Buda Musique) paru le 10 juin 2022.
Cinq ans après La Silencieuse (Buda Musique 2017), Meïkhâneh affirme davantage les influences persanes, mongoles et européennes de sa musique, au croisement d’une World Music et d’une Folk imaginaires. Le trio explore l’intériorité et l’extériorité, le cocon et le vaste monde, ce qui se ressent et ce qui se dit. Un appel à l’espace, au voyage, à la nature…
et intimistes, terriennes et vibrantes. Chantés en mongol, persan,
portugais, grec, français et langue imaginaire, les Chants du dedans, Chants du dehors livrent des mélodies limpides, profondes, des rythmes dansants, dans un écrin de cordes pincées, frottées, entre terre et ciel.
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Références :
1e partie de Susheela Raman, Titi Robin, Trio Chemirani, Natacha Atlas, Las Hermanas Caronni… / Bonlieu-scène nationale d’Annecy, musée des Confluences, Festival Là ! C’est de la musique (Avignon OFF), Les Suds à Arles, Étonnants Voyageurs, Joutes musicales de Printemps, Les Détours de Babel, le Sunset, Into the Wild Summer Festival (UK), Woodburner Music Nights (UK), Festival Les Nuits du Monde, l’Alhambra (CH), Le bout du monde (CH), tournée Klangkosmos (DE)…
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Informations
www.meikhaneh.com
www.facebook.com/meikhaneh
La maison de l’ivresse (Cas Particuliers 2012).
La Silencieuse (Cas Particuliers/Buda Musique, 2017). Distribution internationale, France : Universal
Extraits de presse
Chants du dedans, chants du dehors – 2022
« Mai convenzionali queste “Canzoni dall’interno e dall’esterno” della “Casa dell’ebbrezza” (questa la traduzione del nome della band che è mutuato dalla poesia persiana), che costituiscono un’esperienza oltremodo amabile. » – Ciro De Rosa
La Silencieuse – 2017
TÉLÉRAMA SORTIR (FR)
« une voix haute, aux atours souvent angéliques […] mais capable aussi de véhémences plus baroques, qui se promène, plutôt planante, quelque part entre des steppes mongoles bourdonnantes […] et les rives de l’Euphrate. » – Anne Berthod
TOUT NOUVEAU TOUT FIP (FR)
Diffusion de « Silencia »
fROOTS (UK)
★★★★★
« Difficile d’imaginer que ça ne ferait pas partie de ma poignée de disques favoris de l’année. » – Ian Anderson
SONGLINES (UK)
★★★
« un riche voyage musical, avec une âme qui lui est propre. » – Tim Cumming
VPRO (NL)
« Folklore imaginaire enivrant » – Charlie Crooijmans
DE SUBJECTIVISTEN (NL)
« Un excellent disque qui vous laisse sans voix. »
WNYC (USA)
Diffusion de « Uulyn Nulims » et « Pluies » dans l’émission New Sounds
BLOGFOOLK (IT)
« Sagesse et profondeur nourries d’âme, de foudre, de lumières, atmosphère sombre et visionnaire, dissonances, petites souffrances, épiphanies : « La Silencieuse » est tout cela à la fois et à chaque écoute, l’on y découvre de nouveaux détails ». – Carla Visca
RYTHMES CROISÉS (FR)
« La Silencieuse, c’est, peut-être, le nouveau nom de l’âme de l’auditeur quand il a écouté Meïkhâneh. » – Stéphane Fougère
Télécharger la revue de presse Meïkhâneh 2012-2015
Ouest-France, 20/10/14
« Meïkhâneh a touché au cœur… Un trio vagabond, à suivre donc. »
Ethnotempos, 13/10/12
« Nouveau venu dans la sphère des musiques pèlerines, le trio Meïkhâneh distille une mixture sonore qui évoque immanquablement les grands espaces indomptés, venteux et arides, de ceux qui remettent l’être humain à sa vraie place sur le globe… (…) Les débuts discographiques de Meïkhâneh s’apparentent certes à un voyage sur la Route de la soie, mais proposent comme un « itinéraire Bis » fait maison qui s’écarte des circuits trop balisés. (…) Toute âme vagabonde y sera donc en terrain à la fois inconnu et familier. »
Trad Magazine, Gérard Viel, oct. 2012
« L’ensemble nous fait voyager dans un univers sonore insolite et convivial, pour une balade au-delà des frontières ainsi que dans le temps et dans l’espace. »
Radio Campus Rennes, 23/04/12
« Vous savez quels clichés peut véhiculer la « musique du monde, ou world ». Là, vous pourrez aisément les oublier. Un mélange de diverses traditions s’offre à vos oreilles pour un résultat vraiment surprenant. C’est une forme de bouillon de culture musical d’une rare intensité que nous a concocté le trio Rennais. »
Ouest-France, 15/01/12
« Un moment de bonheur… »
Les Rennais, J.B. Gandon, n°17 2014
« Les lettres et les notes. Un disque Meïkhâneh / La maison de l’ivresse (Autoproduit – Cas particuliers) « À RENNES, RUE DE LA SOIE À La maison de l’ivresse coule un cocktail volapük dont seul Meïkhâneh, le patron, connaît la recette. L’on y parle un peu de Mongolie, d’Iran, de Portugal et de Hongrie, et il est vrai que la caravane ne tarde pas à nous ensorceler. Il ne s’agit pas d’un voyage en train de nuit, entre chien et loup, mais plutôt d’une chevauchée lumineuse, entre shah et khan. L’Iran et la Mongolie éclairent en effet de bout en bout le premier album de Meïkhâneh. Ici, les yourtes d’Oulan Bator ont un goût bulgare, dans tout les cas d’Europe de l’est. Dans La Maison de l’ivresse, en effet, le décor ne change pas comme autant d’étapes, au gré des six titres de l’album, mais à l’intérieur de chaque morceau. Avec la Rennaise Maria Laurent au micro, nous sommes assurés de repartir avec en prime une magnifique collection de timbres de voix. Accompagnée de Johanni Curtet, guitariste émérite passé maître dans l’art du chant diphonique, et de Milad Pasta, aux percussions iraniennes, la joueuse de vièle cheval et de luth mongol nous invite à traverser les steppes, sous le regard bienveillant d’un poète lisboète. La caravane est sereine, notre esprit vagabonde : de magnifiques chutes de fado en saut à l’élastique au fond des (voix de) gorges mongoles, nous nous laissons aller dans les sables émouvants, songeant que la mélancolie est l’une des choses les plus équitablement partagées sur terre. De « la rue de la soif » rennaise à la route de la Soie de Marco Polo, La maison de l’ivresse de Meïkhâneh n’est jamais à sec d’émotions, et l’on ne tarit pas d’éloges. »